Jecyhm Bible et Vie

Statuts ou Règlements de Jecyhm Bible et Vie

Les statuts suivants sont soumis et régis par la Loi sur les sociétés à but non lucratif de la Floride et les statuts Constitution de Jecyhm Bible et Vie. En cas de conflit direct entre les dispositions contenues dans les présentes de ces règlements et les dispositions impératives de la loi sur les sociétés à but non lucratif de Floride, ladite loi sur les sociétés à but non lucratif sera la loi de contrôle en vigueur. En cas de conflit direct entre les dispositions des présents statuts et les statuts Incorporation de la société / organisation, ce seront alors ces règlements qui prévaudront. 

Le Français de ces Statuts est en plusieurs endroits non conforme à l’anglais original. Comparez avec l’anglais original pour mieux comprendre. Click

ARTICLE 1 – NOM

Le nom légal de la société / organisation à but non lucratif sera connu sous le nom de Jecyhm Bible Et Vie, et sera ici dénommée la « société/organisation ».

ARTICLE 2 – OBJET

Les objectifs généraux pour lesquels cette société/organisation a été créée sont les suivants :

Le but pour lequel la société/organisation à but non lucratif est formée est énoncé dans les statuts ci-joints.

La société / organisation est établie au sens de la publication IRS 557, section 501 (c) (3) Organisation de la Code fiscal interne de 1986, tel que modifié (le « Code ») ou la section correspondante de tout futur code fiscal fédéral et doit être exploité exclusivement pour/dans le but de l’association à but non lucratif Jecyhm bible et vie (Jecyhm bible and life) est d’aider les jeunes à grandir avec un comportement civique et vertueux dans certains pays non développés. Jecyhm bible et vie aussi veut soutenir les églises pour développer la vie économique de leurs membres, – (puis d’autres)- à travers la création des projets générateurs d’emplois et de développement de certains territoires. .

De plus, cette société/organisation a été formée dans le but d’accomplir toutes les choses accessoires ou appropriées dans, les buts spécifiques et primaires qui précèdent. Cependant, la Société/Organisation ne doit pas, sauf pour un montant non substantiel degré, s’engager dans toute activité ou l’exercice de tous pouvoirs qui ne sont pas dans la poursuite de ses objectifs principaux à but non lucratif.

La Société/Organisation doit détenir et peut exercer tous les pouvoirs qui peuvent être conférés à tout organisme à but non lucratif organisation par les lois de l’État de Floride et selon ce qui peut être nécessaire ou opportun pour l’administration des affaires et la réalisation des objectifs de la Société/Organisation. À aucun moment et en aucun cas la Société/Organisation participer à des activités qui n’ont pas été autorisées à être menées par une société / organisation exemptée en vertu de Section 501(c) de l’Internal Revenue Code de 1986 (le « Code »), telles que certaines activités politiques et législatives.

ARTICLE 3 – BUREAUX

Le bureau principal de la société/organisation est situé au 3239 Old Winter Garden Rd, Orlando, Floride 32805.

La société/l’organisation peut avoir d’autres bureaux que le conseil d’administration peut déterminer ou juger nécessaires, ou que les affaires de la Société / Organisation peuvent avoir besoin de temps à autre, à condition que tout changement permanent de l’adresse du bureau principal est correctement déclarée, comme l’exige la loi.

ARTICLE 4 – AFFECTATION DES ACTIFS

Les propriétés et actifs de la Société/Organisation sont irrévocablement dédiés et à des fins non lucratives uniquement. Non une partie des bénéfices nets, des propriétés ou des actifs de cette société / organisation, lors de sa dissolution ou autrement, s’appliquera au profit de toute personne ou de tout membre, administrateur ou dirigeant de cette société/organisation. En cas de liquidation ou de dissolution, tous les biens et actifs restants de la société / organisation doivent être distribués et versés à une organisation dédiée à des fins non lucratives qui a établi son statut d’exonération fiscale conformément à l’article 501 (c) du Code.

ARTICLE 5 – CONSEIL D'ADMINISTRATION

Pouvoirs et responsabilités généraux

La Société/Organisation sera régie par un Conseil d’administration (le « Conseil »), qui aura tous les droits, pouvoirs, privilèges et limitations de responsabilité des administrateurs d’une société à but non lucratif organisée en vertu de la Loi sur les sociétés à but non lucratif de Floride. Le conseil doit établir des politiques et des directives régissant les activités et les programmes de la société/organisation et délègue au directeur exécutif et au personnel de la société/organisation, sous réserve des dispositions des présents statuts, l’autorité et la responsabilité de veiller à ce que les politiques et les directives soient correctement suivies.

Nombre et qualifications

Le Conseil comptera jusqu’à 15 membres, mais pas moins de trois (3) membres du Conseil. Le nombre de membres du Conseil peut être augmenté au-delà de 15 membres par le vote affirmatif d’une majorité des deux tiers du Conseil d’administration alors en fonction. Une planche le membre n’a pas besoin d’être un résident de l’État de Floride.

En plus des membres réguliers du Conseil, des représentants d’autres organisations ou individus tels que le Conseil peut juger opportun d’élire sont des membres d’office du conseil d’administration, qui auront les mêmes droits et obligations, y compris droit de vote, comme les autres administrateurs.

Rémunération du conseil

Le Conseil ne recevra aucune compensation autre que les dépenses raisonnables. Toutefois, à condition que la structure de rémunération se conforme aux sections relatives aux “contrats impliquant des membres du conseil d’administration et / ou des dirigeants” comme stipulé dans les présents statuts, rien dans ces règlements ne doit être interprété comme empêchant un membre du conseil de servir la société / l’organisation de quelque manière que ce soit autre capacité et recevoir une rémunération pour les services rendus.

Élections du conseil

Le comité de gouvernance, s’il est créé, présentera la nomination des nouveaux membres et des membres renouvelés du conseil d’administration en décembre.

Les recommandations du comité de gouvernance doivent être portées à la connaissance du conseil par écrit avant que les candidatures ne soient fait et voté. Les membres nouveaux et renouvelés du Conseil sont approuvés à la majorité simple de ces membres du Conseil lors d’une Réunion du conseil à laquelle le quorum est atteint. Si aucun comité de gouvernance n’est créé, cette tâche incombera à un autre comité créé à cet effet ou au sein du conseil d’administration.

Durée du conseil

Toutes les nominations au Conseil sont pour un mandat d’un (1) an. Ce membre du conseil peut obtenir un autre mandat pour une deuxième année. Toutefois, si la Société est nouvelle, pour les trois (3) premières années, un administrateur peut être renouvelé au même poste si voté à la majorité du conseil. Nul ne doit servir plus que possible consécutivement à moins qu’une majorité du Conseil, au cours d’une réunion du Conseil à laquelle un quorum soit atteint, vote pour nommer un Membre du conseil d’administration à 1 année(s) supplémentaire(s). Nul ne doit servir plus d’années consécutives dans la mesure du possible. Après avoir servi le nombre total maximum d’années consécutives au sein du conseil, un membre peut être admissible à une reconsidération en tant que membre du conseil après 1 an se fait écoulés depuis la fin du service de ce membre du Conseil.

Un Président Directeur Général Fondateur (PDG Fondateur) n’a pas de durée de service. Car, ce PDG sera considéré de tous temps comme le bailleur de fonds par titre ou par représentation.

Un PDG Fondateur n’a pas besoin d’être élu pour contrôler l’ONG. Il est au-dessus du président s’il n’est pas le président en même temps. Cependant, le président est le directeur général exécutif des opérations de l’ONG. Mais, tout le monde suit le but pour lequel l’organisation a été créée. Et le PDG est le premier à rappeler et à diriger tout le monde dans cette direction. Un plan de travail doit être élaboré par la majorité du conseil, y compris le PDG et le président élu.

Le PDG de cette organisation est également le PDG de Jcym Products Store, LLC, l’agent sous lequel Jecyhm Bible et Vie (JBV) est enregistré. Cela signifie que JBV est sous Jcym Products Store, LLC.

Le président directeur général peut présenter au conseil son vice-président directeur général, qui peut le remplacer en cas d’absence.

Postes vacants

Une vacance au sein du Conseil d’administration peut exister à la survenance des conditions suivantes :

  1. a) Le décès, la démission ou la destitution de tout administrateur ;
  2. b) La déclaration par résolution du conseil d’administration d’une vacance au poste d’un administrateur déclaré instable esprit par une ordonnance définitive d’un tribunal, reconnu coupable d’un crime, jugé par une ordonnance définitive ou un jugement d’un tribunal avoir enfreint une obligation en vertu du Code des sociétés et / ou de la loi relative aux normes de conduite d’un administrateur, ou a manqué 3 réunions consécutives du conseil d’administration, ou un total de 4 réunions du conseil au cours d’un même calendrier an;
  1. c) Une augmentation du nombre autorisé d’administrateurs ; ou
  2. d) Le défaut des administrateurs, lors de toute réunion annuelle ou autre réunion des administrateurs au cours de laquelle des administrateurs doivent être élus, d’élire le nombre total d’administrateurs autorisés.

Le conseil d’administration, par vote affirmatif de la majorité des administrateurs alors en fonction, peut révoquer tout administrateur sans motif à une réunion ordinaire ou spéciale, à condition que l’administrateur à révoquer ait été avisé par écrit de la manière énoncée à l’article 5 – Réunions, qu’une telle action serait examinée lors de la réunion.

Sauf dans les cas prévus au présent paragraphe, tout administrateur peut démissionner à compter de la remise d’un avis écrit au président du conseil, le président de la société/organisation, le secrétaire de la société/organisation ou le conseil d’administration, à moins que le préavis précise un délai ultérieur pour l’effectivité de la démission. Si la démission prend effet ultérieurement, un successeur peut être désigné pour prendre ses fonctions lorsque la démission devient effective. À moins que le procureur général de Floride ne soit le premier avisé, aucun administrateur ne peut démissionner lorsque la Société/Organisation se retrouverait alors sans administrateur dûment élu responsable de ses affaires.

Toutes vacances au sein du Conseil peut être comblée à la majorité simple des administrateurs alors en fonction, que le nombre d’administrateurs alors en fonction est inférieur au quorum, ou par le vote d’un seul administrateur restant. Aucune réduction du nombre autorisé d’administrateurs a pour effet de révoquer tout administrateur avant l’expiration du mandat de cet administrateur.

Un membre du Conseil d’administration élu pour combler une vacance est élu pour la durée non écoulée du mandat de son prédécesseur en fonction.

Démission

Chaque membre du conseil a le droit de démissionner à tout moment moyennant un avis écrit au président du conseil, au secrétaire du conseil d’administration ou du directeur général. Sauf indication contraire dans l’avis, la démission prend effet dès réception celle-ci, et l’acceptation de cette démission prendra effet à sa réception, et l’acceptation de cette démission n’est pas nécessaire pour le rendre effectif.

Suppression

Un membre du Conseil peut être révoqué, avec ou sans motif, à toute réunion dûment constituée du Conseil, par le vote affirmatif d’une majorité des deux tiers des membres du Conseil alors en fonction.

Réunions

Les réunions régulières du conseil peuvent avoir lieu au moment et à l’endroit déterminés par le conseil. Le président de la Conseil ou n’importe lequel des 2/3 des membres réguliers du Conseil peut convoquer une réunion spéciale du Conseil avec un préavis écrit de 15 jours fourni à chacun membre du Conseil. L’avis doit être signifié à chaque membre du Conseil par remise en main propre, par courrier ordinaire, par courrier électronique ou par télécopieur. La ou les personnes autorisées à convoquer ces réunions extraordinaires du conseil peuvent également déterminer le lieu où la réunion doit se tenir, tant qu’il s’agit d’un endroit raisonnable pour tenir une réunion extraordinaire du conseil.

Minutes

Le secrétaire est responsable de l’enregistrement de tous les procès-verbaux de chaque réunion du conseil au cours de laquelle des affaires seront traitées dans l’ordre que le Conseil pourra déterminer de temps à autre. Toutefois, dans le cas où le secrétaire est indisponible, le président du conseil nomme une personne pour agir à titre de secrétaire à la réunion. Le secrétaire ou la personne désignée pour agir à titre de secrétaire, prépare les procès-verbaux des réunions, qui sont remis au Corporation/Organisation à placer dans les registres des procès-verbaux. Une copie du procès-verbal est remise à chaque membre du Conseil par courrier ordinaire, remis en main propre, par courrier électronique ou par télécopie dans les 7 jours ouvrables suivant la clôture de chaque réunion du Conseil.

Quorum

A chaque réunion du Conseil d’administration ou des Comités du Conseil, la présence de 1/2 + 1 personnes constitue un quorum pour la transaction commerciale. Si, à un moment quelconque, le conseil est composé d’un nombre pair de membres et qu’un vote aboutit à une égalité, alors la voix du président du conseil d’administration est la voix prépondérante. L’acte de la majorité des membres du Conseil siégeant au Conseil ou Comités du Conseil et présents à une réunion où il y a quorum est l’acte du Conseil ou du Conseil Comités, sauf disposition contraire des statuts, des présents statuts ou d’une loi exigeante spécifiquement Par ailleurs. Si le quorum n’est pas atteint lors d’une réunion, les membres du conseil d’administration présents peuvent ajourner la réunion de temps à autre sans autre avis jusqu’à ce qu’un quorum soit atteint. Toutefois, un membre du Conseil est considéré comme présent à toute réunion du Conseil ou des Comités du Conseil si, lors de la réunion, il est présent par téléphone ou par web conférence avec les autres Membres du conseil d’administration participant à la réunion.

Vote

Chaque membre du Conseil ne dispose que d’une voix.

Procuration

Les membres du Conseil ne sont pas autorisés à voter par procuration écrite.

Présence des membres du conseil

Un membre élu du conseil qui est absent de 3 réunions régulières consécutives du conseil au cours d’un exercice est encouragé à réévaluer avec le président du conseil son engagement envers la société/l’organisation. Le Conseil peut considérer un membre du Conseil qui a manqué 3 réunions consécutives sans une telle réévaluation avec le président, comme ayant démissionné du Conseil.

ARTICLE 6 – DIRIGEANTS

Officiers et fonctions

Le conseil élit les dirigeants de la société/organisation tels que définis dans les statuts constitutifs ou par résolution du conseil, mais en aucun cas moins d’un officier pour préparer les procès-verbaux des réunions des administrateurs et des membres et authentifier les procès-verbaux des Société/Organisation. Une même personne peut occuper un nombre illimité de mandats. Outre les devoirs conformément à la présente

Article, les officiers doivent effectuer toutes les autres tâches généralement liées à leurs bureaux et autres tâches qui peuvent être nécessaires par la loi, les statuts ou par les présents statuts, sous le contrôle du conseil d’administration, et ils accomplissent tous d’autres tâches supplémentaires que le conseil d’administration peut leur confier à sa discrétion.

Les dirigeants seront choisis par le conseil lors de son assemblée annuelle et répondront aux besoins du conseil, sous réserve de tous les droits, le cas échéant, de tout dirigeant qui pourrait être sous contrat de travail. Par conséquent, sans aucun parti pris ou prédisposition aux droits de tout dirigeant qui peut être sous contrat de travail, tout dirigeant peut être révoqué avec ou sans motif par le Planche. Tous les dirigeants ont le droit de démissionner à tout moment en donnant un avis écrit au président du conseil, au président, et/ou secrétaire de la société/organisation, sans préjugé ni prédisposition à tous les droits, le cas échéant, du Société / Organisation en vertu de tout contrat auquel ledit dirigeant fait partie de celui-ci. Toutes les démissions deviennent effectives à la date de réception de l’avis écrit de démission ou à tout moment ultérieur tel que spécifié dans la démission; et sauf indication contraire dans l’avis écrit, une acceptation déclarée de la démission ne sera pas nécessaire pour que la démission soit effective.

Toute vacances d’un poste pour cause de décès, démission, disqualification, destitution ou pour toute autre cause, sera rempli conformément aux présents statuts prescrits pour les nominations régulières à un tel poste. L’indemnisation, le cas échéant, des dirigeants sont fixés ou déterminés par résolution du conseil d’administration.

(CEO) PDG du conseil (chef de la direction)

Il incombe au PDG du conseil, lorsqu’il est présent, de présider toutes les réunions du conseil d’administration et Comité exécutif. Le PDG (CEO) du conseil est autorisé à signer, au nom de la société/organisation, tout et tous contrats ou autres documents dont l’exécution par le Conseil peut être autorisée, soit de manière générale, soit spécifiquement, par le Corporation/Organisation, sauf lorsque la loi exige que la signature du président soit fournie.

Vice-PDG du conseil

En cas d’absence du PDG (CEO) du conseil, ou en cas d’empêchement ou de refus d’agir de celui-ci, il appartient alors du vice-PDG du conseil d’exercer toutes les fonctions du PDG du conseil et, ce faisant, il aura tous les l’autorité et les pouvoirs du président du conseil et sont assujettis à toutes les restrictions imposées au président du conseil.

Président (directeur exécutif)

Il incombe au président, en général, de superviser et de diriger toutes les activités et opérations de la

Société/Organisation, sous réserve du contrôle, de l’avis et du consentement du conseil d’administration. Le président conserve le Conseil d’administration parfaitement informé, le consultera librement sur toutes les activités de Société/Organisation, et veillera à ce que toutes les ordonnances et/ou résolutions du Conseil soient exécutées dans l’effet prévu.

Le conseil d’administration peut, le cas échéant, placer le président sous contrat de travail. Le Président sera habilité à agir, parler au nom ou autrement représenter la société/l’organisation entre les réunions du conseil. Le président est responsable de l’embauche et du licenciement de tout le personnel et est chargé de tenir le conseil informé à tout moment de la performance du personnel et pour la mise en œuvre de toute politique du personnel qui peut être adoptée et mise en œuvre par le Planche. Le Président, à tout moment, est autorisé à contracter, recevoir, déposer, débourser et rendre compte de tous les fonds de la Société/Organisation, pour exécuter au nom de la Société/Organisation tous les contrats et autres documents autorisés soit généralement ou spécifiquement par le Conseil à être exécuté par la Société/Organisation, et à négocier tout et toutes les transactions commerciales importantes de la Société/Organisation.

Vice-président

En cas d’absence du Président, ou en cas d’empêchement ou de refus de celui-ci, il incombe alors au vice-président pour exercer toutes les fonctions du président, et ce faisant, il aura toute l’autorité et tous les pouvoirs de, et sera sous réserve de toutes les restrictions imposées au président.

Secrétaire

Le secrétaire, ou son représentant, est le gardien de tous les dossiers et documents de la société/organisation, qui doivent être conservés au bureau principal de la société / organisation, et doit agir comme secrétaire à toutes les réunions du conseil d’administration et conservera les procès-verbaux de toutes ces réunions dans un dossier en format papier ou électronique. Il/elle doit assister à la remise et à la signification de tous les avis de la société / organisation et veillera à ce que le sceau de La société/organisation, le cas échéant, est apposée sur tous les documents dont la signature au nom de la société/organisation sous son sceau est dûment autorisée conformément aux dispositions des présents statuts.

Sous-Secrétaire

Le sous-secrétaire succède au premier secrétaire et peut jouer le rôle du premier lorsqu’il le remplace. Ce sous-secrétaire travaille avec le secrétaire et peut demander à faire certaines parties du travail à la demande du premier secrétaire. Lorsqu’il joue le rôle de secrétaire, le sous-secrétaire est responsable devant le président ou le président directeur général et tous les membres élus du conseil d’administration. Il peut connaître tout le dossier concernant l’administration comme le fait le secrétaire.

Trésorier (Directeur Financier)

Il sera de la responsabilité du trésorier de garder et de maintenir, ou de faire garder et maintenir, des comptes exacts de toutes les propriétés et transactions commerciales de la société / organisation, y compris les comptes de ses actifs, passifs, recettes, décaissements, gains, pertes, capital, bénéfices non répartis et autres éléments habituellement inclus en États financiers. Le trésorier est chargé d’assurer le dépôt ou de faire déposer tout l’argent et les autres objets de valeur peuvent être désignés par le conseil d’administration. En outre, le Trésorier débourse ou fait débourser les fonds de la société/organisation, tel que peut être ordonné par le conseil d’administration, et doit remettre au président du conseil, président, et les administrateurs, chaque fois qu’ils en font la demande, un compte rendu de toutes les transactions du trésorier en tant que trésorier et des situations financières de la société/organisation.

Le trésorier remettra à la société/organisation un cautionnement, si cela est demandé et requis par le conseil d’administration, dans le montant et avec la caution ou les cautions spécifiées par le conseil d’administration pour l’exécution fidèle des fonctions du bureau du trésorier et pour la restitution à la Société/Organisation de tous ses livres, papiers, bons, argent et autres biens de toute nature en la possession ou sous le contrôle du trésorier lors du décès, de la démission, de la retraite ou de la destitution du trésorier du bureau. La Société/Organisation paiera le coût d’un tel cautionnement.

Chef de Projets

Le Chef de Projet peut écrire, superviser et contrôler les projets. Il dirige les autres chefs de projet en sa qualité de premier chef de projets au conseil d’administration.

Il travaille aussi, étant que Manager de Projets, de commun accord avec le Coordonnateur Exécutif Général des activités des projets.

Coordonnateur Exécutif Général

De tout projet en exécution par JBV, il y a un coordonnateur exécutif général des activités des projets. Il sera le responsable de tous les coordonnateurs de zones. Il contrôlera, en concert avec le Chef de Projets, en premier, l’exécution des projets réalisables sur n’importe quel territoire. Il travaillera aussi avec le Président Directeur Général, le Président et le premier Secrétaire Administratif.

Coordonnateurs de Zones

Il y aura plusieurs coordonnateurs de zones. Ils seront responsables de zone particulière lors de démarrages des activités. Ils contrôleront les publications et les activités des projets dans leur juridiction. Dans le cadre que le coordonnateur général ne soit pas prêt d’agir, le Chef des Projets devait les avoir en contrôle. Donc, ils peuvent collaborer avec le Coordonnateur Général en premier lieu, puis le Chef des Projets en second lieu. Ce dernier peut aussi leur demander certains rapports sur les activités. En absence des deux premiers contrôleurs, le président, ou le secrétaire, ou le trésorier, peut, de la même manière, leur demander rapport. 

Les coordonnateurs de zones, de concert avec le conseil administratif, établiront d’autres directeurs d’exécution de projets, selon les règlements administratifs établis par l’administration générale de Jecyhm Bible et Vie.

Coordonnateur de la Jeunesse

Le Coordonnateur de la Jeunesse se porte garant de veiller et de travailler sur l’acquisition de la culture civique et morale de tous les jeunes du programme. La morale que Jecyhm Bible et Vie inculque est la morale chrétienne biblique.

Le coordonnateur est également responsable du système éducatif. Ce système soutiendra les jeunes dans leur parcours de développement intellectuel pour un avenir meilleur. Donc l’organisation Jecyhm Bible et Vie donnera une éducation primaire, secondaire, professionnelle et universitaire. Notre responsable soutiendra aussi la jeunesse vers un processus de leadership et de capacité d’être créatrice d’entreprises.

ARTICLE 7 – COMITÉS

Comités d’administration

Le conseil d’administration peut, de temps à autre et par résolution adoptée à la majorité des administrateurs alors en fonction, pourvu que le quorum soit atteint, désigner un ou plusieurs comités pour exercer tout ou partie des pouvoirs du conseil, au l’étendue des pouvoirs spécifiquement délégués dans la résolution du Conseil ou dans les présents statuts. Chacun de ces comités doit être composé d’au moins deux (2) administrateurs, et peut également inclure des personnes qui ne font pas partie du conseil mais que les administrateurs estiment être fiable et compétent pour servir au sein du comité spécifique. Toutefois, les comités exerçant toute autorité du conseil d’administration

Les administrateurs ne peuvent avoir de membres non-administrateurs. Le Conseil peut désigner un ou plusieurs membres suppléants de toute comité qui peut remplacer tout membre absent à toute réunion du comité. La nomination de membres ou suppléants membre d’un comité requiert le vote de la majorité des administrateurs alors en fonction, pourvu qu’il y ait quorum. La

Le conseil d’administration peut également désigner un ou plusieurs comités consultatifs qui n’ont pas l’autorité du conseil.

Cependant, aucun comité, quelle que soit la résolution du Conseil, ne peut :

a) Approuver toute action qui, conformément à la loi applicable, nécessiterait également le vote affirmatif des membres du Conseil s’il s’agissait d’un vote des membres.

b) Remplir les postes vacants ou révoquer les membres du conseil d’administration ou de tout comité qui a l’autorité du conseil.

c) Fixer la rémunération des administrateurs siégeant au conseil ou à tout comité.

d) Modifier ou abroger les statuts constitutifs ou les règlements ou adopter de nouveaux règlements.

e) Modifier ou abroger toute résolution du conseil d’administration qui, par ses termes exprès, n’est pas ainsi modifiable ou révocable.

f) Nommer tout autre comité du conseil d’administration ou leurs membres.

g) Approuver un projet de fusion, de consolidation, de dissolution volontaire, de faillite ou de réorganisation ; ou un projet de vente, location ou échange de la totalité ou de la quasi-totalité des biens et actifs de la Société/Organisation autrement que dans le cours habituel et régulier de ses affaires ; ou révoquer un tel plan.

h) Approuver toute opération d’initié, sauf dans les cas prévus par la loi.

Sauf autorisation contraire du conseil d’administration, aucun comité ne peut lier la société/organisation dans un contrat ou accord ou dépenser des fonds de la société/organisation.

Réunions et actions des comités

Les réunions et les actions de tous les comités sont régies par, tenues et prises conformément aux dispositions de l’article

7 – Comités des présents statuts, concernant les réunions et actes des administrateurs avec tels changements dans le cadre de ces règlements administratifs nécessaires pour substituer le comité et ses membres au conseil d’administration et à ses membres, sauf que l’heure des réunions régulières des comités peut être déterminée soit par résolution du conseil d’administration, soit par résolution du comité. Des réunions spéciales des comités peuvent également être convoquées par résolution du conseil d’administration. Avis de spécial réunions des commissions sont également accordées à tous les membres suppléants, qui ont le droit d’assister à toutes les réunions du comité. Un procès-verbal doit être dressé pour chaque réunion de tout comité et doit être déposé auprès du Registres de la société/organisation. Le conseil d’administration peut adopter des règles non conformes aux dispositions des présents statuts pour la gouvernance de tout comité.

Si un administrateur s’appuie sur des informations préparées par un comité du conseil auquel il ne siège pas, le comité doit être composé exclusivement d’un ou d’une combinaison de (a) administrateurs, (b) administrateurs ou employés de la Société / Organisation que le directeur estime fiable et compétente dans les questions présentées, ou (c) conseiller, comptables indépendants ou autres r des personnes sur des questions que le directeur estime relever de leur compétence professionnelle ou compétence experte.

Comité exécutif

Conformément à l’Article 7 – Comités, le Conseil peut nommer un Comité Exécutif composé d’un minimum de deux (2) administrateurs, pour siéger au comité exécutif du conseil d’administration. Le Comité Exécutif, à moins qu’il ne soit limité par une résolution du Conseil, a et peut exercer toute l’autorité du Conseil dans la gestion des affaires et des affaires de la Société/Organisation entre les réunions du conseil, à condition toutefois que le comité exécutif n’ait pas l’autorité du Conseil d’administration en ce qui concerne les questions énumérées à l’article 7 – Comité d’administration. Le secrétaire de la société/organisation doit envoyer à chaque administrateur un rapport sommaire des affaires menées lors de toute réunion du Comité exécutif.

Comité de vérification

Le conseil, à sa seule discrétion, peut créer un comité d’audit, qui peut examiner les opérations de tout autre comité, et peut être composé d’une ou plusieurs personnes, y compris des personnes autres que les administrateurs de la Société/Organisation.

Le comité d’audit doit faire des recommandations au conseil d’administration concernant l’embauche et le congédiement d’un vérificateur, qui doit être expert-comptable indépendant et peut être autorisé par le Conseil à négocier le salaire de l’auditeur.

Le comité d’audit doit consulter l’auditeur pour garantir à ses membres que les affaires financières de la société/organisation sont en règle et, après examen, détermine s’il convient d’accepter l’audit. Il sera également de la responsabilité de l’Audit Comité chargé de s’assurer que le cabinet de l’auditeur respecte les normes d’indépendance de l’auditeur, telles qu’énoncées dans la dernière version des normes d’audit du gouvernement, qui ont été publiées par le contrôleur général des États-Unis, ou toute norme établie et publiée par le procureur général de Floride. La composition du comité d’audit, si créé, ne comprend pas les personnes suivantes :

a) Le président du conseil d’administration ;

b) Le trésorier de la corporation/organisation;

c) Tout employé de la Corporation/Organisation ; ou

d) Toute personne ayant un intérêt financier important dans une entité faisant affaire avec la Société/Organisation.

Comité des finances

Le comité des finances, s’il est créé, sera chargé de s’assurer que les rapports financiers de la société/organisation sont exact. Il supervise également le budget et exerce d’autres fonctions telles que l’établissement de fonds de réserve, de lignes de crédit et investissements. Dans l’hypothèse où le Conseil créerait un Comité des Finances, les membres dudit Comité des Finances devront moins de la moitié (1/2) des membres du comité d’audit, et le président du comité des finances doit ne pas siéger au comité d’audit.

Commission des affaires internes

Le conseil, à sa seule discrétion, peut créer un comité des affaires internes, qui s’occupera de toutes les questions internes et opérationnelles problèmes de la société/organisation, y compris, mais sans s’y limiter, ceux liés aux finances, aux ressources humaines et aux installations.

Ce comité peut être composé du directeur financier et du directeur des ressources humaines, entre autres

Comité de gouvernance

Le comité de gouvernance, s’il est créé, est responsable de la santé et du fonctionnement du conseil. Il sera en charge de recruter de nouveaux membres, de diriger des séances d’orientation, de produire des documents pour le conseil et d’évaluer le rendement du conseil lui-même. Le comité de gouvernance est également chargé d’assurer l’efficacité du conseil actuel, d’établir priorités pour la composition du conseil, planifier le recrutement et la relève du conseil d’administration, superviser le développement du conseil et prendre diriger les évaluations du conseil d’administration.

Comité des communications et des relations publiques

S’il est créé, un comité des communications s’occupera de toutes les questions liées à la communication avec les donateurs, les parties prenantes et les autres. Ce comité supervisera également toutes les newsletters, les communications officielles, les plateformes de médias sociaux, la présence en ligne et les contacts avec les médias.

Comité de collecte de fonds

Le conseil, à sa seule discrétion, peut créer un comité de collecte de fonds qui assurera et contribuera à des initiatives de collecte de fonds pour l’entreprise/l’organisation. En outre, ce comité doit identifier les sources potentielles de financement, prendre un rôle actif dans l’amélioration de la sensibilisation du conseil aux possibilités de collecte de fonds, explorer les possibilités d’amélioration du public relations et la collecte de fonds, et fournir un examen annuel de la performance du plan de collecte de fonds de l’Organisation.

ARTICLE 8 – NORME DE SOIN

Général

Un administrateur exerce toutes les fonctions d’un administrateur, y compris, mais sans s’y limiter, les fonctions de membre de tout comité du

Conseil auquel l’administrateur peut siéger, de la manière que l’administrateur juge être dans le meilleur intérêt du

Société / Organisation et avec autant de soin, y compris une enquête raisonnable, qu’une personne ordinaire, prudente et raisonnable dans une situation similaire peut s’exercer dans des circonstances similaires.

Dans l’exercice de ses fonctions d’administrateur, un administrateur a le droit de se fier aux informations, opinions, rapports ou états financiers, y compris les états financiers et autres données financières, dans chaque cas préparés ou présentés par :

a) Un ou plusieurs dirigeants ou employés de la Société/Organisation que l’administrateur juge fiables et compétent dans les matières présentées;

b) Un avocat, des comptables indépendants ou d’autres personnes, quant aux questions que le directeur estime relever de ces compétence professionnelle ou experte de la personne; ou

c) Un comité du conseil auquel l’administrateur ne siège pas, quant aux questions relevant de son autorité désignée, qui comité que le directeur juge digne de confiance, tant que dans un tel cas le directeur agit de bonne foi, après enquête raisonnable lorsque le besoin peut être indiqué par les circonstances, et sans connaissance qui rendrait une telle confiance injustifiée.

Sauf dans les cas prévus à l’article 8 – Norme de diligence, toute personne qui exerce les fonctions d’administrateur conformément à ce qui précède n’aura aucune responsabilité fondée sur tout manquement ou manquement présumé à s’acquitter des obligations de cette personne en tant qu’administrateur, y compris, sans s’y limiter, toute action ou omission qui dépasse ou va à l’encontre d’un objectif public ou caritatif de auquel la Société/Organisation, ou les actifs qu’elle détient, sont dédiés.

Prêts

La Société / Organisation ne doit consentir aucun prêt d’argent ou de propriété à, ni garantir l’obligation d’un administrateur ou d’un officier, sauf approbation du procureur général de la Floride ; à condition, toutefois, que la Société/Organisation puisse avancer de l’argent à un administrateur ou à un dirigeant de la société / organisation ou de toute filiale pour des dépenses raisonnablement anticipées engagés dans l’exercice des fonctions d’un tel dirigeant ou administrateur tant que cette personne aurait le droit d’être remboursé de ces dépenses en l’absence de cette avance.

Conflit d’intérêt

Le but de la politique sur les conflits d’intérêts est de protéger les intérêts de la Société/Organisation lorsqu’elle envisage conclure une transaction ou un arrangement qui pourrait profiter à l’intérêt privé de l’un de ses dirigeants ou administrateurs, ou qui pourrait

autrement entraîner une éventuelle transaction de prestations excédentaires. Cette politique est destinée à compléter mais non à remplacer toute les lois étatiques et fédérales régissant les conflits d’intérêts applicables aux sociétés / organisations à but non lucratif et caritatives et n’est pas conçu comme une déclaration exclusive de responsabilités.

Restriction sur les administrateurs intéressés

Pas plus de 100 % (pourcentage) des personnes siégeant au conseil d’administration à tout moment peuvent être des personnes intéressées. Une personne intéressée est (1) toute personne actuellement rémunérée par la Société/Organisation pour les services qui lui ont été rendus au cours des douze (12) derniers mois, que ce soit en tant qu’employé à temps plein ou à temps partiel, entrepreneur indépendant ou autrement, à l’exclusion de toute rémunération raisonnable versée à un administrateur ; et (2) tout frère, sœur, parent, ancêtre, descendant, conjoint, beau-frère, belle-sœur, gendre, belle-mère ou beau-père d’une telle personne. Cependant, toute violation des dispositions du présent article n’affectent pas la validité ou l’applicabilité de toute transaction conclue par la personne intéressée.

Obligation de divulgation

Dans le cadre de tout conflit d’intérêts réel ou potentiel, une personne intéressée doit divulguer l’existence d’intérêt et avoir la possibilité de divulguer tous les faits importants aux administrateurs qui envisagent le projet transaction ou arrangement.

Établir un conflit d’intérêts

Après la divulgation de l’intérêt financier et de tous les faits matériels, et après toute discussion avec la personne intéressée, la personne intéressée doit quitter la réunion du conseil d’administration pendant que le conflit d’intérêts potentiel est discuté et voté. Les autres membres du Conseil décident s’il existe un conflit d’intérêts.

Résolution d’un conflit d’intérêts

Dans le cas où le Conseil devrait établir qu’une transaction ou un arrangement proposé crée un conflit d’intérêts, le Conseil procédera alors aux actions suivantes :

  1. a) Toute personne intéressée peut présenter une demande ou un rapport à la réunion du Conseil, mais à la fin de ladite demande ou signaler l’individu doit être excusé pendant que le conseil discute des informations et / ou des documents présentés, puis vote sur la transaction ou l’arrangement proposé impliquant le possible conflit d’intérêts.
  2. b) Le président du conseil, s’il le juge nécessaire et approprié, nomme une personne ou un comité désintéressé pour rechercher des alternatives à la transaction ou à l’arrangement proposé.
  3. c) Après avoir exercé une diligence raisonnable, le conseil détermine si la société/organisation peut obtenir avec efforts raisonnables une transaction ou un arrangement plus avantageux d’une personne ou d’une entité qui ne donnerait pas lieu à un conflit d’intérêts.
  4. d) Si une transaction ou un arrangement plus avantageux n’est pas raisonnablement possible dans des circonstances ne produisant pas un conflit d’intérêts, le conseil déterminera, à la majorité des voix des administrateurs désintéressés, si la transaction ou l’arrangement est dans le meilleur intérêt de la Société/Organisation, pour son propre bénéfice, et s’il est juste et raisonnable. Il décide de conclure ou non l’accord de transaction conformément au présent détermination.

Violations de la politique sur les conflits d’intérêts

Si le Conseil a des motifs raisonnables de croire qu’une personne intéressée a omis de divulguer des conflits d’intérêts réels ou possibles intérêt, la Commission informe alors la personne intéressée du fondement de cette croyance et lui accorde une l’occasion d’expliquer l’omission alléguée de divulguer.

Si, après avoir entendu l’explication de la personne intéressée et après avoir procédé à une enquête plus approfondie qui peut être justifiée dans compte tenu des circonstances, la Commission détermine que la personne intéressée a intentionnellement omis de divulguer une information réelle ou éventuel conflit d’intérêts, il prendra les mesures disciplinaires et correctives appropriées.

Procédures et enregistrements

Tous les procès-verbaux des réunions du conseil, le cas échéant, doivent contenir les informations suivantes :

  1. a) Les noms de toutes les personnes qui ont divulgué ou ont été reconnues comme ayant un intérêt financier en rapport avec une conflit d’intérêts réel ou possible, la nature de l’intérêt financier, toute mesure prise pour déterminer si un conflit d’intérêts était présent, et la décision du Conseil quant à l’existence réelle d’un conflit d’intérêts.
  2. b) Les noms des personnes qui étaient présentes pour les discussions et les votes relatifs à l’opération ou à l’arrangement, le contenu des discussions, y compris toute alternative à la transaction ou à l’arrangement proposé, et un compte rendu des tout vote pris dans le cadre de la procédure.

Politique de reconnaissance des conflits d’intérêts

Chaque administrateur, dirigeant principal et membre d’un comité doté de pouvoirs délégués par le Conseil est tenu de signer une déclaration qui affirme que cette personne :

  1. a) a reçu une copie de la politique sur les conflits d’intérêts ;
  2. b) a lu et compris la politique ;
  3. c) a accepté de se conformer à la politique ; et
  4. d) Comprend que la Société/Organisation est un organisme de bienfaisance et, afin de maintenir son exonération d’impôt fédéral, elle doit s’engager principalement dans des activités qui accomplissent un ou plusieurs de ses objectifs exonérés d’impôt.

Violation de la loyauté – Contrats d’initiés

Un contrat d’initié est tout contrat ou transaction (i) entre cette société/organisation et un ou plusieurs de ses administrateurs, ou entre cette société/organisation et toute société, entreprise ou association dans laquelle un ou plusieurs de ses administrateurs ont un intérêt financier important (“administrateur intéressé”), ou (ii) entre cette société/organisation et un société, entreprise ou association dont un ou plusieurs administrateurs sont administrateurs de cette société/organisation. Dit self-dealing ne sera pas nul ou annulable parce que ces administrateurs de la société, de l’entreprise ou de l’association sont des parties ou parce que lesdits Le ou les administrateurs sont présents à la réunion du conseil d’administration ou du comité qui autorise, approuve ou ratifie l’opération d’initié contrat, si :

Tous les faits importants sont entièrement divulgués aux membres du conseil d’administration ou autrement connus de ceux-ci et le contrat d’initié est approuvé par l’administrateur intéressé de bonne foi (sans inclure le vote de toute adhésion détenue par ledit réalisateur(s) intéressé(s));

  1. b) Tous les faits importants sont entièrement divulgués ou autrement connus du conseil d’administration ou du comité, et le conseil d’administration

Les administrateurs ou le comité autorisent, approuvent ou ratifient le contrat d’initié de bonne foi, sans compter les votes du ou des administrateurs intéressés – et le contrat est juste et raisonnable quant à la société / organisation au moment où il est autorisé, approuvé ou ratifié ; ou

  1. c) En ce qui concerne les contrats non approuvés comme prévu dans les sections (a) et/ou (b) ci-dessus, la personne affirmant la validité de l’opération d’initié contrat supporte la charge de prouver que le contrat était juste et raisonnable quant à la Société/Organisation au moment où elle a été autorisée, approuvée ou ratifiée.

Les administrateurs intéressés peuvent être pris en compte pour déterminer la présence d’un quorum lors d’une réunion du conseil d’administration ou d’un comité de celui-ci, qui autorise, approuve ou ratifie un contrat ou une transaction tel que prévu et contenu dans la présente section.

Indemnité

Dans toute la mesure permise par la loi, la Société/Organisation doit indemniser ses « agents », tel que décrit par la loi, y compris ses administrateurs, dirigeants, employés et bénévoles, y compris les personnes occupant auparavant un tel poste, et leurs héritiers, exécuteurs testamentaires et administrateurs, contre tous les frais, jugements, amendes, règlements et autres montants réellement et raisonnablement encourus par eux dans le cadre de toute « procédure », et y compris toute action par ou dans le droit de la Société/Organisation, en raison du fait que la personne est ou était une personne telle que décrite dans la Société à but non lucratif de la Loi sur la Corporation. Ce droit d’indemnisation ne sera pas réputé exclusif de tout autre droit auquel ces personnes pourraient avoir droit en dehors de cet article.

Dans toute la mesure permise par la loi et, sauf décision contraire du Conseil dans un cas spécifique, les dépenses encourues par une personne sollicitant une indemnisation pour défendre une « procédure » ​​seront avancés par le Société/Organisation d’un engagement par ou au nom de cette personne à rembourser ce montant à moins qu’il ne soit finalement déterminé que la personne a le droit d’être indemnisée par la Société/Organisation pour ces dépenses.

La Société/Organisation a le pouvoir d’acheter et de maintenir une assurance au nom de tout agent de la

Société / Organisation, dans toute la mesure permise par la loi, contre toute responsabilité revendiquée contre ou encourue par l’agent en cette qualité ou découlant du statut de l’agent en tant que tel, ou de donner d’autres indemnisations dans la mesure permise par la loi.

ARTICLE 9 – SIGNATURE DES ACTES SOCIAUX

Exécution des actes d’entreprise

Le conseil d’administration peut, à sa discrétion, déterminer les modalités et désigner le ou les dirigeants signataires, ou d’autres personne ou personnes, pour signer tout acte ou document corporatif, ou pour signer la dénomination sociale sans limitation, sauf lorsque la loi en dispose autrement, et cette exécution ou cette signature lie la société/l’organisation.

Sauf disposition contraire spécifiquement déterminée par le Conseil d’administration ou autrement requis par la loi, les contrats formels de la Société/Organisation, billets à ordre, actes de fiducie, hypothèques, autres titres de créance de la Société/organisation, autres instruments ou documents de la société/organisation, adhésions à d’autres sociétés/organisations, et les certificats d’actions détenues par la société/organisation doivent être signés, signé et/ou approuvé par le PDG, le président, le secrétaire, le trésorier.

Tous les chèques et traites tirés sur des banques ou autres dépositaires sur des fonds au crédit de la Société/Organisation, ou en comptes spéciaux de la Société/Organisation, doivent être signés par la ou les personnes que le Conseil d’administration doit autoriser à le faire.

Prêts et contrats

Aucun prêt ou avance ne sera contracté au nom de la Société/Organisation et aucune note ou autre preuve de la dette sera émise en son nom à moins que et sauf dans la mesure où la transaction spécifique est autorisée par le conseil d’administration.

Sans l’autorisation expresse et spécifique du Conseil, aucun dirigeant ou autre agent de la Société/Organisation ne peut conclure tout contrat ou signer et livrer tout instrument au nom et pour le compte de la Société/Organisation.

ARTICLE 10 – DOSSIERS ET RAPPORTS

Maintenance et inspection des statuts et règlements

La société / organisation doit conserver à son siège social l’original ou une copie de ses statuts et règlements tel que modifié à ce jour, qui doit pouvoir être consulté par les administrateurs à toute heure raisonnable pendant les heures de bureau.

Maintenance et inspection de la demande d’exonération fiscale fédérale et des déclarations de renseignements annuelles

La Société/Organisation doit conserver à son siège social une copie de sa demande d’exonération d’impôt fédéral et de son rapport annuel déclarations de renseignements pendant trois ans à compter de leur date de dépôt, qui seront ouvertes à l’inspection publique et à la copie dans la mesure où Requis par la loi.

Maintenance et inspection des autres documents de l’entreprise

La Société/Organisation doit tenir des livres et des registres adéquats et corrects des comptes et des procès-verbaux écrits des délibérations du conseil et des comités du conseil. Tous ces registres doivent être conservés à un endroit ou à des endroits désignés par du conseil et des comités du conseil ou, en l’absence d’une telle désignation, au bureau principal du Société/Organisation. Les procès-verbaux doivent être conservés sous forme écrite ou dactylographiée, et les autres livres et registres doivent être conservés soit sous forme écrite ou dactylographiée ou sous toute forme susceptible d’être convertie en forme écrite, dactylographiée ou imprimée. En quittant ses fonctions, chaque dirigeant, employé ou agent de la Société/Organisation doit remettre à son successeur ou au président du Conseil d’administration ou président, en bon ordre, tels fonds, livres, registres, procès-verbaux, listes, documents, contrats de la société / organisation ou d’autres biens de la société/organisation qui ont été sous la garde de ce dirigeant, employé ou agent pendant son ou son mandat.

Chaque administrateur a le droit absolu, à toute heure raisonnable, d’inspecter tous les livres, registres et documents de toute nature et les propriétés physiques de la Société/Organisation et de chacune de ses filiales/organisations. L’inspection peut être faite en personne ou par un agent ou un avocat, et comprend le droit de copier et de faire des extraits de documents.

Préparation des états financiers annuels

La Société/Organisation doit préparer des états financiers annuels en utilisant les principes comptables généralement reconnus. Tels les états financiers doivent être audités par un expert-comptable indépendant, conformément aux normes comptables généralement admises Normes. La société/organisation doit mettre ces états financiers à la disposition du procureur général de la Floride et les membres du public pour inspection au plus tard 30 jours après la clôture de l’exercice auquel les états se rapportent.

Rapports

Le conseil doit s’assurer qu’un rapport annuel est envoyé à tous les administrateurs dans les 30 jours suivant la fin de l’exercice de la

Société/Organisation, qui doit contenir les informations suivantes :

  1. a) L’actif et le passif, y compris les fonds en fiducie, de cette société à la fin de l’exercice financier.
  2. b) Les principales variations de l’actif et du passif, y compris les fonds fiduciaires, au cours de l’exercice.
  3. c) Les dépenses ou débours de la Société/Organisation à des fins générales et restreintes au cours de l’exercice fiscal.
  4. d) Les informations requises par la Loi sur les sociétés sans but lucratif concernant certaines opérations d’initiés impliquant plus de 50 000,00 $ ou des indemnisations de plus de 10 000,00 $ survenues au cours de l’exercice.

Le rapport doit être accompagné de tout rapport pertinent d’un comptable indépendant ou, en l’absence d’un tel rapport, du certificat d’un dirigeant autorisé de la société / organisation attestant que ces états ont été préparés sans vérification par le livres et registres de la Société/Organisation.

ARTICLE 11 – EXERCICE SOCIAL

L’exercice financier de cette société/organisation se terminera le 31 décembre.

ARTICLE 12 – MODIFICATIONS ET REVISIONS

Les présents statuts peuvent être adoptés, modifiés ou abrogés à la majorité des deux tiers des administrateurs alors en fonction. Une telle action est autorisée uniquement lors d’une réunion dûment convoquée et tenue du conseil d’administration pour laquelle un avis écrit de cette réunion, fixant les révisions proposées aux statuts avec les explications correspondantes sont fournies conformément aux présents statuts. Si une disposition de ces règlements exige le vote d’une plus grande partie du conseil d’administration que ce qui est autrement requis par la loi, cette disposition peut ne pas être modifié, amendé ou abrogé par ce vote supérieur.

ARTICLE 13 – SCEAU DE LA SOCIÉTÉ/ORGANISATION

Le conseil d’administration peut adopter, utiliser et modifier un sceau d’entreprise/organisation. Le sceau est conservé au siège social de la Société/Organisation. Toutefois, le défaut d’apposition du sceau sur un acte d’entreprise ou d’organisation n’affectera pas la validité de cet instrument.

ARTICLE 14 – CONSTRUCTION ET DÉFINITIONS

Sauf si le contexte l’exige, les dispositions générales, règles d’interprétation et définitions contenues dans le Non-Profit

La Loi sur les sociétés, telle que modifiée de temps à autre, régira la construction de ces règlements. Sans limiter la généralité de ce qui précède, le genre masculin comprend le féminin et le neutre, le nombre singulier comprend le pluriel et le pluriel le nombre comprend le singulier, et le terme « personne » comprend une société/organisation ainsi qu’une personne physique. Si seulement tribunal compétent jugera toute partie de ces règlements invalide ou inopérante, alors dans la mesure où cela est raisonnable et possible (i) le reste de ces règlements sera considéré comme valide et opérationnel, et (ii) l’effet sera donné à l’intention manifestée par la partie jugée invalide ou inopérante.

CERTIFICAT DE SECRÉTAIRE

Je, Gueby Jean Pierre, certifie que je suis l’actuel secrétaire élu et par intérim de la Corporation/Organisation, et ce qui précède

Les statuts sont les statuts de cette société / organisation tels qu’adoptés par le conseil d’administration le 2 Septembre 2022 et qu’ils ont été modifiés en un jour. Quelques modifications sont apportées dans les écritures en rouges après le modèle des règlements de l’état de Floride.

EXECUTED on this 2nd day of September 2022, in the County of Osceola in the State of Florida.

Secretary Name:__ Gueby Jean Pierre _; Sec. Signature: Gueby Jean Pierre __

Co-Signed by the:

CEO/President Name: _Gueby Jean Pierre ; CEO/P. Sign: Gueby Jean Pierre __  

Vice-President Name: Yvette Pierre_ ; Vice-P. Sign: ___________________________

Treasurer Name: Rose Jean Pierre_;  Treasurer Sign: _______________________________